Sweet Home

Si vous êtes en manques de séries coréennes horrifiques après « Kingdom » ou la dernière séance de ciné depuis bien longtemps que vous avez faite pour regarder « Peninsula » eh bien ruez-vous sur celle-ci ! Les monstres n’ont pas la côte en ce moment et sont un peu classés dans le has been de l’horreur.

Dans ce monde-ci, ils redeviennent tendance. Dans une Corée dévastée par une épidémie, les personnes se transforment en gros monstre purulent. Selon les défauts ou les démons de chacun, la transformation du monstre est propre à soi-même et en plus de cela, ils peuvent rarement mourir et se régénèrent. Cela promet un futur incertain à notre groupe de survivaliste !

Très gore mais parfois drôle, nous suivons en huis-clos les habitants d’un immeuble qui se sont réunis pour tenter de survivre.

Un ado qui décide de mettre fin à ses jours au tout début sans aucun lien avec l’épidémie, trouve un moyen de se battre et de devenir l’unique espoir de survie pour ses voisins…

Malgré tout, certaines scènes sont un peu lentes et nous peinons à finir les derniers épisodes car finalement l’histoire n’avance pas beaucoup. On sent un manque de budget, les événements se font toujours aux mêmes endroits et on entend les mêmes musiques pop entêtantes accompagnant l’action, déjà diffusé bien au début, cela devient vite soûlant vu qu’on finit par les connaître par cœur. Heureusement que les personnages sont attachants un peu et surtout que ce type de série change complètement de ce que l’on peut voir habituellement, ça divertit.

Le côté original des monstres nous a fait tenir et peu faire penser à « The Thing » quand ils se transforment et qu’ils sont mi- humains, mi-monstres.

Dans les derniers épisodes, de nouvelles révélations rendent l’intrigue plus intéressante.

A voir exclusivement sur Netflix !