Bioshock : The Collection est une compilation des trois premiers épisodes de la série de 2K Games. Il contient les premiers jeux Bioshock (2007), Bioshock 2 (2010) et Bioshock Infinite (2013). Si vous ne connaissez pas encore ces jeux, vous êtes projetés dans un monde steampunk post-apocalyptique, le graphisme est souvent qualifié de « chef-d’oeuvre » pour les plus geeks. Au début du jeu, Jack est seul rescapé à bord d’un avion qui s’abîme en mer à la suite d’un accident dans l’océan Atlantique. Le personnage se dirige à Rapture, une ville maintenant sous l’eau et à l’abandon. Jack va alors essayer de découvrir cet endroit désert.
Dans le 2, nous incarnons « Big Daddy », une sorte de géant balourd en tenue de scaphandrier afin de retrouver la petite soeur toujours dans cette ville sous-marine.
Et dans le 3, l’histoire est radicalement différente et se passe dans une cité volante de Columbia.
Parfois un peu trop linéaire, ce FPS propose d’avoir accès à plusieurs armes ainsi que des différents « plasmides », c’est-à-dire des pouvoirs qui sortent de sa main gauche comme geler ou incinérer un ennemi à débloquer tout au long du jeu grâce à « l’Adam » récolté sur les cadavres extrait par « les petites soeurs ». Plusieurs séquences, qui sont toujours un peu pareilles, consistent à protéger la petite soeur des ennemis pour récupérer cet Adam indispensable pour les améliorations. Deux choix s’offrent régulièrement à vous : vous pouvez soit la sauver soit récolter plus d’Adam, mais chaque choix entraîne plusieurs conséquences.
Le premier avait la difficulté de débloquer les alarmes et autres améliorations d’armes grâce à un mini-jeu consistant à conduire un flux en créant un tunnel de bout à bout sous forme de puzzles.
Dans le 2, la difficulté était moindre, notamment au niveau des ennemis à abattre et le changement d’une arme anti-piratage qui cette fois ne nécessitait que d’appuyer au bon moment pour tout désactiver. Peut-être que ce processus est mieux car grâce à ce nouveau mécanisme nous n’avons pas une multitude de gardes à tuer. Cependant, il faut faire attention au niveau de difficulté que vous choisirez. En mode facile c’est vraiment trop facile pour tuer toutes les créatures alors que les autres modes vous vraiment vous donnez du fil à retordre, il n’y a donc pas vraiment de juste milieu.
Niveau scénario, les puristes préféreront le 1, nous nous préférons le 2 pour bien connaitre l’histoire de la chute de Rapture et la relation père-fille entre un protecteur et la petite sœur. Le 3 est finalement très part dans cette trilogie et ne remplace pas les originaux bien que nous ayons découvert Bioshock en commençant par le 3 : Bioshock Infinite (eh oui !).
Agréable à jouer si vous êtes amateurs de FPS type shooter mais avec une réelle histoire derrière et qui demande parfois de la réflexion, n’hésitez plus il vous le faut dans votre collection.
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