Film d’horreur qui tourne davantage en un thriller-psychologique !
Blumhouse Productions nous propose d’explorer avec le réalisateur Leigh Wannell (Insidious: chapitre 3) le côté pervers narcissique manipulateur de l’homme-invisible. Il centre l’attention sur la femme de ce dernier plutôt que sur les pouvoirs de cet homme. Il ne nous montrera pas le personnage plus que nécessaire.
L’histoire très connue de l’homme-invisible a été détournée de multiples fois au cinéma, avec celui de 1933 ou le plus connu « Hollow Man : l’homme sans ombre » dans les années 2000, avec Kevin Bacon dans le rôle et Paul Verhoeven (Robocop, Starship Troopers…) a la réalisation ou encore comme dans les livres depuis le roman de Wells « L’homme-invisible ».
En effet, le film démarre avec Cecilia Kass, interprétée par Elisabeth Moss, qui s’enfuit d’une mystérieuse maison de luxe ressemblant à l’intérieur à un institut possédant une apparence proche de la science-fiction. Cette jeune femme se réfugie chez sa sœur. Ce qui rend attrayant cette version de l’histoire de l’homme invisible, c’est que le film ne va pas dévoiler complètement l’apparence de l’homme invisible (oui on ne peut pas le voir mais il ressemble quand même à quelque chose après tout) et ce pendant longtemps. Il est en sous-entendu.
Néanmoins cela rend l’histoire un peu longue à démarrer. Nous n’allons pas nous mentir, tout le film repose sur l’actrice Elisabeth Moss qui a réussi à nous prouver depuis la série La servante écarlate qu’elle brillait dans ce type de rôle et réussissait avec brio à nous offrir un jeu presque pareil mais pas complètement ! Ce qui n’est pas facile pour ce type de performance. Elle rend donc ce film intéressant et elle sait nous plonger dans le suspense. Entre la pure folie ou le fantastique, même si le spectateur le sait depuis le début, elle réussira quand même à nous en faire douter un peu.
Si vous cherchez de l’action, vous n’y trouverez pas votre bonheur. Par contre si vous aimez la science fiction et le style film un peu d’auteur ne vous rebute pas, vous devriez apprécier Invisible Man a sa juste valeur.
je sors de l’avp tu étais à laquelle?
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La même je pense, celle sur Paris
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on n’était pas nombreux dans la salle des champs….on a du se croiser… j’étais en G16
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J’étais pas aux champs, j’étais à UGC dans le 12ème, il n’y avait pas grand monde non plus
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