Film Coréen primé au festival de Cannes avec une palme d’or pour récompense. Le réalisateur est Bong Joon-Ho a qui l’on doit Snowpiercer et Okja.
Autant vous dire que les 2h13 de films ont défilés très vite, rare est le scénario aussi original et tenant le spectateur jusqu’au bout.
Il faut le temps de s’immerger dans une famille pauvre de Corée du Sud, ayant du mal à subvenir à leurs besoins. Quand un ami du fils de la famille lui fait une proposition de travailler chez une riche famille, une idée d’escroquerie émerge et le film prend la direction d’une grosse manipulation.
Pas très moral, le film en est d’autant plus bien réalisé, les situations étant parfois grotesques. Vous allez passer par toutes les phases d’émotions, de l’humour qui est très présent, du drame et même un peu de gore. Cela faisait bien longtemps qu’un film Coréen ne nous avait pas mis une claque depuis « Mademoiselle » Ou bien « Le dernier train pour Busan ». C’est indéniablement le film à ne pas manquer cette année.